Transports et handicap : la loi Mobilités démarre lentement

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Un an après l’adoption de la loi mobilités, rares sont les collectivités ayant déjà adopté trois de ses mesures phares pour les voyageurs en situation de handicap.

Et l’enquête menée par Faire-Face révèle que beaucoup d’entre elles n’appliquent pas un tarif réduit à l’accompagnateur de tout titulaire de la Carte Mobilité Inclusion, mais seulement à certains d’entre eux. Ce qui est hors-la-loi.

C'est ainsi Le 9 décembre dernier, Île-de-France mobilités a mis son règlement en conformité avec la loi d’orientation des mobilités. Le conseil d’administration a ainsi adopté de nouvelles conditions tarifaires pour l’accompagnateur d’un voyageur en situation de handicap sur le réseau de transports en commun de la région. Si ce dernier est titulaire d’une carte mobilité inclusion (CMI), alors la personne qui l’accompagne bénéficiera d’un demi-tarif. Et s’il s’agit d’une CMI invalidité avec la mention besoin d’accompagnement, ce proche voyagera gratuitement.

 

Néanmoins, Le texte adopté en décembre 2019 contient plusieurs autres mesures pour les personnes en situation de handicap.

 

Retrouvez-les sur le site de faire-face.fr !

 

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