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  • ETAT DES LIEUX SUR LA GRATUITE DU STATIONNEMENT ADAPTE

    apf, access universelleEn France, la politique tarifaire du stationnement et l’exonération de certaines catégories de personnes sont de la responsabilité des communes sur lesquelles les emplacements adaptés sont implantés. Pour connaître la politique tarifaire pratiquée sur ses emplacements réservés, les titulaires de la carte européenne de stationnement doivent donc de se rapprocher des services de la mairie.

    article paru dans blog du service Accessibilité Universelle apf: cliquer ici


  • LES BLOGS

    plusieurs blogs sont a dispositions, ils vous suffit de cliquer sur les liens ci dessous:




    APF NATIONAL


    PERSONNES EN DIFFICULTÉ D’ÉLOCUTIONS

    S.E.P

    E.A.C

    JURIDIQUE

    ETATS REGIONAUX DE L'INCLUSION


    FAIRE FACE

    REFLEXE HANDICAP

    PARENTS D'ENFANTS EN SITUATION DE HANDIICAP

    GUIDE DES LIEUX ACCESSIBLE ET SYMPAS

    APF EVASION

    JEUNES

  • REUNION DU GROUPE PARENTS DU 13 Avril

    parents,apfLe compte-rendu du groupe "Parents" qui s'est déroulé le 13 Avril dernier est téléchargeable ci-dessous.

    Télécharger le compte-rendu en cliquant ICI

    Des rencontres de parents d’enfants en situation de handicap moteur ont lieu le 2ème samedi de chaque mois de 10h à 12h à la Délégation Départementale APF de l’Essonne. Animé par deux psychologues de l’APF, ce groupe de parole a pour objectif de répondre au besoin d’échange entre parents d’enfants en situation de handicap habitant l’Essonne.
    Source d’enrichissement mutuel pour les familles qui partagent le même vécu, nous échangeons ensemble sur les sujets qui vous intéressent.

    Pour toutes informations n’hésitez pas à contacter Rafif Sargi et Carine Maraquin psychologues au SESSD d’Evry (01.69.36.17.20)

    Blog national : http://interparents.blogs.apf.asso.fr

    La prochaine rencontre se déroulera le Samedi 25 Mai 2013.

  • LE BLOG PREND DES VACANCES!!!!

    Votre blog va s'offrir des vacances ! Nous vous retrouverons dès le 13 Mai 2013 pour de nouvelles informations départementales, régionales et nationales.

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    En attendant, la délégation reste ouverte pendant les vacances de Pâques Vous pouvez donc nous contacter par mail et par téléphone pendant toute cette période (01.60.78.06.63 ou dd.91@apf.asso.fr).

    A très bientôt !!
  • Recherche et handicap : Voir la douleur pour mieux soigner les personnes avec des difficultés d'élocution

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    La pupille varie selon l’intensité douloureuse ressentie.

    Plus précisément, son diamètre ou son degré de contraction après une stimulation lumineuse de la rétine augmente avec l’intensité de la souffrance. Pour les médecins, de tels indicateurs représentent sur le papier des outils d’évaluation pertinents. Ainsi, mesurer ces deux paramètres permettrait d’évaluer rapidement la douleur, en particulier chez les personnes ne pouvant formuler précisément ce qu’elles ressentent : enfant, patient ayant des difficultés d’élocution ou de compréhension, etc. En absence de la connaissance de la douleur (ou de son atténuation) ressentie par un patient, difficile et délicat en effet pour le personnel soignant de mesurer l’efficacité d’un traitement.

    Afin de palier un tel manque ou retour d’information, une étude a été menée par une équipe de l’Inserm (Unité 738 Université Paris Diderot-Paris 7), en utilisant à titre de modèle le cas de l’accouchement.

    Évaluer l’efficacité d’un traitement antalgique

    Les scientifiques ont ainsi mesuré les pupilles de femmes en fonction de la douleur des contractions utérines et de son soulagement par l’analgésie péridurale. Ils ont pour cela placé devant l’œil une caméra capable d’effectuer des mesures en une fraction de seconde.
    Résultat : les contractions utérines provoquent effectivement l’augmentation du diamètre de la pupille et le degré de sa contraction après stimulation lumineuse de la rétine. Des paramètres qui reviennent à la normale avec une péridurale.

    Cependant, les données obtenues montrent qu’il est difficile d’établir des valeurs seuils permettant de distinguer une patiente douloureuse d’une patiente non douloureuse. « Néanmoins, chaque individu pourrait être son propre témoin, souligne Jean Guglielminotti, co-auteur de l’étude. Cela signifie qu’en mesurant l’évolution de ces paramètres au cours du temps, par exemple avant et après un traitement antalgique, il serait possible de déterminer l’évolution de la douleur et de savoir ainsi si ce traitement a été efficace ou non. »

    Il reste à généraliser cette évaluation à d’autres conditions que l’accouchement, comme le précise le chercheur : « Nous avons conduit une étude de preuve de concept. Il nous reste maintenant à valider ses résultats dans différentes situations. » O. Clot-Faybesse - Photo @ Inserm

    Article paru dans le blog des personnes en difficulté d'élocution