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  • Première Journée Nationale de l’Accessibilité le 8 octobre 2011

    image-logo-jaccede-com.jpgLe Samedi 8 octobre 2011, à l'initiative de Jaccede.com, des centaines de bénévoles aux 4 coins de la France se mobiliseront pour l'accessibilité ! Rejoignez dès maintenant, l'action la plus proche de chez vous.

    Pour cette première édition de la Journée Nationale de l’Accessibilité (JNA), des équipes bénévoles vont organiser dans une vingtaine de villes de France une opération "Journée de l'Accessibilité".

    Aix-en-Provence / Avignon / Châlons-en-Champagne / Évreux / Grenoble / Laon /Le Havre / Lisieux / Lyon / Marseille / Mouroux / Nantes / Nice / Paris / Rennes /Saint-Denis / Saint-Sébastien-sur-Loire / Toulouse / Villeneuve d’Ascq : rejoignez dès maintenant, l'opération la plus proche de chez vous.

    Pour vous inscrire, cliquez ici.

    Pour que la Journée batte son plein, il reste encore à trouver des fonds et toutes les équipes recherchent des parrains. Pour les soutenir dans leurs efforts de collecte, cliquez sur ce lien et choisissez l'opération que vous souhaitez aider.


    Journée Nationale de l'Accessibilité - 8 octobre... par jaccede

  • Access City Award 2012

    ACA 2012 Signature_FR.jpgFaites connaître votre ville à travers l’Europe pour son soutien proactif en faveur de l’accessibilité par les personnes handicapées.

    L’Access City Award vise à mettre en évidence et à récompenser les villes de plus de 50 000 habitants prenant des initiatives exemplaires en vue d’améliorer l’accessibilité en milieu urbain.

    Compte tenu du vieillissement continu de la population au sein des villes européennes et de sa corrélation avec diverses incapacités, l’accessibilité présente d’importants avantages socio-économiques.

    Les candidatures à la nouvelle édition de l’Access City Award sont à présent ouvertes. La date limite de leur présentation est le 20 septembre 2011. Le lauréat sera annoncé à la cérémonie de remise des prix de Bruxelles, les 1 et 2 décembre 2011.

    Ce prix sera décerné à la ville:
    - ayant considérablement amélioré l’accessibilité dans les aspects fondamentaux de la vie en ville:
    - l’accessibilité à l’environnement bâti et aux espaces publics;
    - l’accessibilité aux infrastructures de transport et apparentées;
    - l’accessibilité à l’information et la communication, y compris aux technologies y afférentes (TIC);
    - l’accessibilité aux infrastructures et aux services publics.
    - s’étant engagée à poursuivre ses efforts en vue d’améliorer l’accessibilité de manière durable;
    - pouvant jouer le rôle de modèle et encourager l’adoption de meilleures pratiques dans l’ensemble des autres villes européennes.

    Partagez vos idées par le biais de ce concours et donnez l’impulsion à d’autres initiatives. Réservez à l’Access City Award une place d’honneur dans votre mairie ou hôtel de ville. Votre réussite peut être une source d’inspiration pour d’autres villes d’Europe.

    Plus d'informations en cliquant ici.

  • Philippe Velut, nouveau directeur général de l’APF : une carrière au service des autres

    1318101845.JPGDepuis le 15 juin, l'APF a un nouveau directeur général. Directeur de nombreuses structures sanitaires, médico-sociales et sociales et manager d'organisations importantes tout au long de sa carrière, Philippe Velut, 56 ans, est prêt à assumer ses fonctions.

    Un parcours professionnel entièrement effectué dans le secteur médico-social : à 56 ans, Philippe Velut, le futur directeur général de l'APF, qui prendra ses fonctions le 15 juin, s'est toujours mis au service des plus fragiles. De ses débuts en tant que formateur à l'École nationale d'apprentissage de Nantes, où il anime des stages en faveur de jeunes en difficulté, à son poste de directeur du CRP(*) de Saint-Étienne, puis de directeur général adjoint et de directeur de l'Adapt, association pour l'insertion professionnelle et sociale des personnes handicapées.

    Un homme qui, s'il n'est finalement pas devenu avocat comme il le souhaitait enfant, a su conserver, adulte, son envie de « défendre les autres ». « Mon grand-père était chauffeur de car et trésorier des mutilés du travail, mes parents issus de la méritocratie. L'idée de servir les autres faisait vraiment partie de la culture familiale ! »

    Une vision entrepreneuriale. Son engagement associatif est ancien et se conjugue avec une vision entrepreneuriale de l'action sociale, qu'il ne considère possible que dans un climat de confiance et de participation. « Cette envie de ne pas seulement gérer des acquis mais de continuer à moderniser, à innover, sans perdre son utopie, ni tomber dans un corporatisme très réducteur. »

    Directeur de nombreuses structures sanitaires, médico-sociales et sociales, gestionnaire et manager d'organisations importantes, Philippe Velut a largement contribué au développement de nouvelles relations entre le secteur social et le monde économique, notamment au travers de la semaine pour l'emploi des personnes handicapées ou encore de la constitution de réseaux de parrainage pour l'emploi. Ce qui le motive ? « La rencontre avec les autres, la satisfaction de convaincre et surtout de partager ensemble des évolutions. »

    Accompagner les changements. Les évolutions, il en a connu beaucoup dans sa carrière, lui qui appartient à une génération de cadres qui ont dû accompagner les changements majeurs de la société. « Je suis toujours arrivé dans des organisations qui, à cause d'un contexte économique et social mouvementé, voire en pleine crise, n'avaient non seulement plus suffisamment de moyens de faire mais devaient aussi s'adapter et changer leur façon de faire. »

    C'est la première fois qu'il participe à un congrès de l'APF : « Ce qui me frappe surtout c'est la fraternité qui se dégage de cet événement, les rapports chaleureux et directs entre les gens, et la liberté de ton dans les échanges. » Mais les questionnements et les enjeux de ces trois jours lui sont familiers. Il sait ce qui l'attend très vite, quand il entrera en fonction : l'élaboration du projet stratégique national de l'APF qui définira les moyens à mettre en œuvre et les actions à mener pour porter les grandes orientations politiques et les objectifs stratégiques de son projet associatif, cadre essentiel pour tous ses acteurs. Il est prêt.

    (*) Centre de rééducation professionnelle.

  • Location de scooter PMR

    image002.jpgUne initiative à saluer : la société Rascal, qui commercialise des scooters PMR, a pris 2 initiatives dans le domaine du tourisme qui peuvent concerner des personnes peinant à se déplacer, dont une à Paris.

    Il s'agit de la mise à disposition gratuite de scooters PMR au parking SEVRES BABYLONE (7ème). Cette opération testée en 2010 a été pérennisée et c’est désormais à l’année que ce service est disponible
    Et , à partir de Septembre, le même service sera proposé au parking PYRAMIDE (office de tourisme 1er) à proximité du Louvres.

    Si vous utilisez ce service, n'hésitez pas à nous donner vos commentaires.

    Pour voir le site de la société Rascal, cliquez ici.

  • Enfants handicapés cherchent grands-parents !

    Grands-Parrains.jpgDepuis plus de dix ans, Grands-Parrains met en relation de nombreux seniors qui n'ont pas la joie d'avoir des petits-enfants et souhaiteraient donner du temps et de l'affection à des enfants privés de grands-parents. Le rôle d'un grand parent d'adoption est le même que celui d'un grand-père ou d'une grand-mère ordinaire. La première difficulté réside, bien entendu, dans la sélection des postulants. Reste ensuite à créer des « mariages » compatibles, notamment en termes de personnalités et de secteurs géographiques.

    Enfants handicapés, c'est possible !
    Désormais ce parrainage s'ouvre aux enfants et jeunes handicapés, qui leur permet, au même titre que les autres, de s'enrichir au contact d'adultes extérieurs à leur sphère familiale. Les relations peuvent être ponctuelles (par exemple une fois par mois) ou régulières pour permettre à chaque partie de créer ses repères. Cet engagement définit aussi l'activité (intérieure, extérieure...), son rythme, sa durée et ses modalités de reconduction de manière à éviter les arrêts brutaux souvent destabilisateurs pour l'enfant. Au delà de l'intérêt d'un lien entre générations, le grand parrainage permet d'encourager la solidarité dont ont besoin les familles frappées par le handicap. Les grands parents convaincus de la richesse des échanges qui peuvent naître avec un enfant « différent » sont encouragés à postuler ; de nombreux petits-filleuls les attendent. En effet, l'association déplore une cruelle pénurie de grands parrains par rapport aux demandes des familles

    Le parrain idéal
    Présidée par Michelle Joyaux, cette association s'est développée via plusieurs antennes sur tout le territoire métropolitain mais également en Martinique. Pour postuler, il faut avoir au minimum 45 à 50 ans et pas plus de 90 ans. Les couples et grandes marraines seules sont acceptés. En dehors de ces critères objectifs, les qualités humaines sont incontournables: une belle ouverture d'esprit, une grande disponibilité, la chaleur humaine, l'aptitude et le goût pour la communication. Les candidats doivent remplir un dossier comprenant, notamment, une lettre de motivation, un extrait de casier judiciaire, un certificat médical et une attestation d'assurance responsabilité civile. En complément, l'association envoie sur place un représentant local qui s'entretient avec les postulants, vérifie l'état des locaux et établit ensuite un rapport de visite qui sera joint au dossier. Ce dernier est ensuite examiné en commission, au siège. Le cas échéant, un psychologue s'entretient avec les postulants pour éclairer tel ou tel point. Ils doivent également signer la charte du parrainage qui avait été initialement élaborée par le Ministère de la Justice et celui de la Famille.

    Une nouvelle famille
    Une fois le dossier accepté, l'association recherche le filleul correspondant aux critères mis en avant (zone géographique, âge et sexe de l'enfant...), puis permet la mise en relation des grands parrains avec les parents de l'enfant. En général, quatre à cinq rencontres suffisent pour déterminer le degré de compatibilité. A ce stade seulement, une rencontre entre les grands-parrains et leurs « petits-enfants » peut être envisagée. Parallèlement, l'association suit les opérations et se renseigne régulièrement sur l'évolution des parrainages.

    Des formules à la carte
    En dehors du système classique du type « grands parents-petits enfants », avec des visites plus ou moins fréquentes, il existe des parrainages épistolaires (le lien se faisant par courrier) mais également des relations déclinées sur le mode «oncle et tante d'adoption», assez fréquentes avec les filleuls issus de familles monoparentales. Dans ce cas, les parrains ont le même âge que les parents de l'enfant.

    Parfois, ça casse
    Pour autant, malgré le sérieux et la rigueur mis en oeuvre, il peut arriver que la greffe ne prenne pas. Parfois, à cause du décalage entre la réalité et la projection que fait l'enfant, à l'instar de ce jeune garçon qui s'attendait à voir arriver une « mamie bigoudis » et a été déçu de tomber sur une marraine dynamique et pimpante. Bien entendu, entrent aussi en compte la fragilité et l'imprévisibilité des liens humains. Il n'en reste pas moins que, dans la majorité des cas, le grand parrainage est une très belle aventure, qui vaut largement le coup d'être tentée.

    • Association familiale Grands-Parrains, enfants handicapés : 15 rue des Epinettes 94240 L'Hay-les-Roses
    Tél. : 06 88 17 53 25 - http://www.grandsparrains.fr


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