ACCESSIBILITÉ - Page 7

  • Opération "Baromètre des villes marchables"

    BarometreVillesMarchables.jpgDes villes marchables : un questionnaire pour les évaluer

    Vous êtes piétons au quotidien ou occasionnellement, 

    Vous êtes à mobilité réduite, Vous êtes marcheurs,

    Grâce à vous, le Collectif "Place aux piétons" va contribuer à rendre nos communes plus accueillantes pour les piétons

    Nous avons besoin de votre retour d’expérience.

    Aidez-nous en consacrant 10 minutes à répondre à ce questionnaire.

    JE PARTICIPE EN CLIQUANT SUR CE LIEN

    Cette initiative est conduite par la Fédération Française de Randonnées Pedestres et la plate-forme associative nommée: Collectif "Place aux piétons". Cette initiative est soutenue par l'ADEME et les Ministères de la transition écologique, des Sports et des Transports et de nombreux autres partenaires.

    Que vous soyez satisfaits ou déçus de la place consacrée au piéton dans les villes ou les villages, que vous rencontriez des difficultés ou appréciez les initiatives des municipalités où vous résidez, où vous travaillez ou que vous connaissez très bien, vous avez sûrement un avis sur le sujet et des idées pour se déplacer à pied dans les meilleures conditions. Vous vous donnons l'opportunité de le faire savoir.

    En étant nombreux à répondre à ce questionnaire (un par commune évaluée), il nous sera possible d'améliorer la marchabilité des villes et des villages qui auront été évalués et feront l'objet d'un classement.

    Ce classement permettra à ces collectivités de disposer d'informations inédites sur votre ressenti et vos attentes et de se motiver davantage afin de rendre leurs communes plus accueillantes pour les piétons.

    Le collectif "place aux piétons" compte sur vous et vous en remercie.

    Relayer ce questionnaire auprès de vos proches, dans votre réseau de relation afin que les villes et les villages que vous souhaitez voir évaluer, recueillent suffisamment de réponses.

    Le questionnaire est ouvert jusqu'au 15 mars 2021. Les résultats seront connus au printemps 2021. Vous pourrez être destinataire personnellement de la synthèse des résultats.

    Source :

    Collectif "Place aux piétons"

    Céréma

  • Ile-de-France Mobilités propose de financer les trajets des personnes de plus de 75 ans avec le réseau PAM vers les centres de vaccination contre le Covid-19

    pam91_06.jpgLa campagne de vaccination est lancée. Et pour faciliter l'accès des personnes de plus de 75 ans, prioritaires, aux centres de vaccination, Ile-de-France Mobilités annonce plusieurs mesures.

    L'autorité en charge des transports propose d'abord la « mobilisation des réseaux PAM ».

    Dans chaque département d'Ile-de-France, le PAM (Pour Aider à la Mobilité) offre une solution de transport adaptée aux personnes à mobilité réduite. « Pour les personnes âgées de plus de 75 ans qui ont des difficultés à se déplacer.

    Ile-de-France Mobilités a demandé aux départements d'élargir le service PAM pour les personnes âgées de plus de 75 ans en perte d'autonomie (évaluées selon la Grille AGGIR et bénéficiaires de l'APA au titre d'un GIR 1 à 4) pour les emmener dans les centres de vaccination », détaille IDFM.

    Les transports à la demande» desserviront les centres

    Le PAM est cofinancé par les départements, Ile-de-France Mobilités et la région. Pour faciliter l'accès à ce service disposant de véhicules adaptés aux personnes en fauteuil roulant, « Île-de-France Mobilités a demandé aux départements de mettre en place la gratuité pour ces trajets et s'est engagé à financer cette gratuité ».

    Dans 25 réseaux locaux, Ile-de-France Mobilités a lancé des systèmes de « transport à la demande » (TAD). Dans ces zones, le voyageur peut réserver une place dans un véhicule, qui établit son parcours en fonction des demandes. « Le TAD sera adapté pour desservir le centre de vaccination, et les personnes âgées de plus de 75 ans pourront l'emprunter gratuitement », précise IDFM.

    Pour s'inscrire, aller sur le site tad.idfmobilites.fr

    Source : Le Parisien/Par Sébastian Compagnon 

  • Transports et handicap : démarrage poussif et dérapages incontrôlés pour la loi mobilités

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    La loi mobilités impose de mettre en place un tarif spécifique, sur le réseau ordinaire, pour l'accompagnateur de tout titulaire de la CMI.

    Île-de-France Mobilités vient d'adapter son règlement.

     

    Lire la suite ICI sur Faire Face

  • Transports et handicap : la loi Mobilités démarre lentement

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    Un an après l’adoption de la loi mobilités, rares sont les collectivités ayant déjà adopté trois de ses mesures phares pour les voyageurs en situation de handicap.

    Et l’enquête menée par Faire-Face révèle que beaucoup d’entre elles n’appliquent pas un tarif réduit à l’accompagnateur de tout titulaire de la Carte Mobilité Inclusion, mais seulement à certains d’entre eux. Ce qui est hors-la-loi.

    C'est ainsi Le 9 décembre dernier, Île-de-France mobilités a mis son règlement en conformité avec la loi d’orientation des mobilités. Le conseil d’administration a ainsi adopté de nouvelles conditions tarifaires pour l’accompagnateur d’un voyageur en situation de handicap sur le réseau de transports en commun de la région. Si ce dernier est titulaire d’une carte mobilité inclusion (CMI), alors la personne qui l’accompagne bénéficiera d’un demi-tarif. Et s’il s’agit d’une CMI invalidité avec la mention besoin d’accompagnement, ce proche voyagera gratuitement.

     

    Néanmoins, Le texte adopté en décembre 2019 contient plusieurs autres mesures pour les personnes en situation de handicap.

     

    Retrouvez-les sur le site de faire-face.fr !

     

  • SNCF : un tarif réduit pour trois passagers accompagnant un voyageur en fauteuil roulant

    unnamed.jpgLes espaces aménagés pour les personnes en fauteuil roulant n’étant situés qu’en première classe, la SNCF applique désormais un tarif spécial pour les voyageurs faisant le trajet avec elles. En plus de l’accompagnateur, qui bénéficie comme avant de la gratuité ou du demi-tarif, trois personnes ont le droit à une réduction de 30 % sur le prix d’un billet de première.

    Pour les passagers en fauteuil roulant, à bord des TGV, c’est première ou rien. Les espaces accessibles sont en effet aménagés dans les voitures de première classe. Mais le voyageur paie le prix d’un billet de seconde classe. Et s’il justifie du besoin d’être accompagné, son accompagnateur bénéficie de la gratuité ou d’une réduction de 50 % (voir encadré).

    Une revendication de longue date

    Mais jusqu’alors ses enfants ou ses amis, par exemple, devaient s’acquitter du tarif de la première classe. Quand bien même ils n’avaient pas le choix de leur classe s’ils souhaitaient voyager à côté de leur proche en situation de handicap.

    Sur un Paris-Marseille, par exemple, l’écart peut aller, selon les heures et les jours, de quelques euros à une cinquantaine d’euros. « Nous dénoncions cette situation depuis des années », précise Nicolas Mérille, conseiller national accessibilité d’APF France handicap.

    Amis, collègues ou famille : désormais, c’est même tarif

    Cette réforme tarifaire met fin à une injustice : les proches du voyageur handicapé devaient payer un billet de première alors que le groupe n'avait pas la possibilité de voyager, ensemble, en seconde.

    Lire la suite ICI

    Source Faire face