• Roulibres : 1000 danseurs valides et en situation de handicap : pourquoi pas vous !

    Affiche3.jpgROULIBRES sera le premier spectacle dansant de plein air où près de 1000 personnes en situation de handicap et personnes valides danseront ensemble pour montrer que les personnes en situation de handicap sont des citoyens comme tout le monde : elles peuvent aussi danser, chanter, RIRE et faire la fête.
    Une chorégraphie mise en place par Bruno Vandelli, sur la musique des Black Eyed Peas, The Time (Dirty Bit).

    Nous souhaitons donc réunir 500 danseurs en fauteuils et 500 danseurs valides, c’est pour cela que vous devez être là pour partager ce moment convivial.

    Cet évènement se déroulera, sous réserve, le mercredi 18 mai 2011 sur le Parvis de l'Hôtel de Ville de Paris, en pleine " Fête du Sourire " de l'APF, avec la présence de DJ Abdel pour assurer l'animation.

    Cet évènement s'intégrera également à la programmation de notre festival "Ensemble, Autrement Capable". Nous vous proposerons dans les prochains mois une date pour répéter cette chorégraphie, mais vous pouvez déjà vous inscrire auprès de Lydie au 01.60.78.06.63 ou dd.91@apf.asso.fr.



    Plus de renseignements sur le blog consacré à cet évènement en cliquant ici. Vous y trouverez notamment des vidéos de la chorégraphie.

  • L'Invisible handicap: Portrait d'un aidant familial

    COFACE.gifCe court métrage a été présenté lors de La Conférence Européenne des Familles qui s'est tenue les 14 et 15 octobre 2010 au Palais d'Egmont à Bruxelles.

    Il s'inscrit dans une thématique intitulée "Vivre en famille en Europe aujourd’hui: Défis et opportunités" et dans l'atelier "Le long cheminement vers une Europe inclusive. Progrès réalisés et perspectives pour les personnes handicapées et les personnes dépendantes".

    Dans ce film, nous faisons la connaissance de Martine Colmant (notre représentante départementale), mère de quatre enfants et vivant à Evry, à la périphérie de Paris. Nous la suivons dans son quotidien tandis qu’elle vaque à ses nombreuses occupations tout en s’occupant ses deux fils adultes sévèrement handicapés. Martine nous confie les difficultés qu’elle rencontre, au jour le jour, pour allier les devoirs dictés par son statut permanent d’aidant familial et ses propres besoins personnels. Elle décrit cette fatigue insidieuse causée par de très longues années de soin et de dévouement envers ses fils.



    Plus d'informations sur le site de la COFACE (Confédération des organisations familiales européennes) en cliquant ici.

  • Le Comité d’entente refuse de poursuivre la concertation avec le gourvernenment suite à la règle du « décideur-payeur » pour l’attribution de l’AAH

    logo-apf-bouge-les-lignes.jpgLe gouvernement a soumis à la concertation un projet de décret relatif à la restriction substantielle et durable pour l’accès à l’emploi d’un demandeur de l’allocation adulte handicapé (AAH). L’article 3 du projet de décret prévoit de donner la majorité des voix aux représentants de l’Etat siégeant dans les Commissions des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) lors de l’attribution de l’AAH. Article qui instaure ainsi le principe du décideur-payeur pour l’attribution de l’AAH contraire à l’esprit de la loi du 11 février 2005 et remettant gravement en cause le rôle de ces commissions et l'intérêt d'y participer pour les représentants des personnes handicapées si leurs voix ne comptent plus pour l'attribution des prestations sociales. A terme, l’attribution du droit à l’AAH ne serait déterminée qu’en fonction des moyens financiers disponibles.

    Le Comité d’entente est fermement opposé à une telle évolution et refuse, tant que cet article ne sera pas retiré, de poursuivre la discussion sur les autres articles de ce projet de décret. C’est ainsi que lors d’une réunion tenue le 28 janvier 2011, les associations membres du comité d’entente ont quitté la réunion puisque les représentants du gouvernement n’ont pas fait droit à cette demande.

    Les 66 organisations nationales représentatives des personnes en situation de handicap demandent le retrait définitif de l’article 3 du projet de décret relatif à la restriction substantielle et durable pour l’accès à l’emploi d’un demandeur de l’allocation adulte handicapé (AAH) avant de poursuivre la consultation sur le projet de décret.

    A propos du Comité d’entente :
    Le Comité d’Entente est un organisme informel qui regroupe 66 organisations nationales représentatives des personnes handicapées et des parents d’enfants handicapés.
    Ses porte-parole sont: l’A.P.A.J.H. (Association pour Adultes et Jeunes Handicapés) ; l’A.P.F. (Association des Paralysés de France) ; le C.L.A.P.E.A.H.A. (Comité de Liaison et d’Action des Parents d’Enfants et d’Adultes atteints de Handicaps Associés) ; le C.N.P.S.A.A. (Comité National pour la Promotion Sociale des Aveugles et des Amblyopes) ; la FNATH (Association des Accidentés de la Vie) ; le G.I.H.P. (Groupement pour l’Insertion des Personnes Handicapées Physiques) ; l’U.N.A.F.A.M. (Union Nationale des Amis et Familles de Malades Mentaux) ; l’Unapei (Union Nationale des Associations de Parents et Amis de Personnes Handicapées Mentales) ; l’U.N.I.S.D.A. (Union Nationale pour l’Insertion Sociale du Déficient Auditif).

  • Le premier trophée « les BDs qui font la différence »

    58980643.JPGLe premier trophée « les BDs qui font la différence » a été remis lors du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême 2011 à : Zidrou et Jordi Lafebre pour leur album « Lydie » aux éditions Dargaud.

    Deux accessits ont été attribués à "La parenthèse" de Elodie Durand et à "Une chance sur un million" de Christina Duran et Miguel A. Giner Bou.

    L'association Sans Tambour Ni Trompette (STNT) récompense ainsi le meilleur album francophone paru en 2010 qui stigmatise l'exclusion, qui met en scène des personnages en situation de handicap ou propose des pistes pour un meilleur vivre ensemble.

    Le lauréat, désigné par un jury composé de membres représentatifs, a reçu une oeuvre originale réalisée par Olivia Séchan, ainsi qu'une récompense de 2 000 €.

    STNT vise, par son action, à favoriser l'accès des personnes handicapées à l'expression artistique. L'association a pour objet de sensibiliser les jeunes et les adultes au respect de la différence dans un contexte scolaire ou professionnel. Ce projet s'inscrit dans une démarche d'accès à l'éducation, à la culture et à l'égalité des chances pour tous.
    Pour ce faire,
    * ils animent des ateliers d'expression artistique pour les personnes handicapées et valides,
    * ils réalisent et diffusent des supports de sensibilisation au respect de la différence,
    * ls organisent des événements en faveur de l'éducation, de l'enfance et de l'égalité des chances pour tous,
    * ils produisent des oeuvres de sensibilisation au respect de la différence,
    * ils assurent la promotion d'oeuvres créées ou interprétées par des personnes en situation de handicap,
    * ils développent une politique de partenariat avec d'autres acteurs du respect de la différence dans d'autres pays ou sur d'autres thèmes.


    Pour voir le site de L'association Sans Tambour Ni Trompette, cliquez ici.

  • « Assistance sexuelle : Oser passer à l’acte » - Le dossier du mois de février du magazine Faire Face

    801697450.jpgL'assistance sexuelle des personnes handicapées en France : un sujet sensible, un sujet d'actualité. En effet, en ce début d'année, une association, CH(S)OSE, a été créé dans le but de militer en faveur d'un accès effectif à la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap. Dans le même temps le député UMP de la Loire, Jean-François Chossy, prépare une proposition de loi visant à créer un statut d'aidant sexuel alors que Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale, s'est déclarée « rigoureusement opposée » à « un truc pareil ! ».

    Le magazine Faire Face a donc décidé d'y consacrer un dossier à travers plusieurs thématiques. Quelles avancées et quelles limites ? Qui sont les assistants sexuels et que proposent-ils ? Que disent ceux qui sont contre ? Et ceux ayant eu recours à l'assistance sexuelle ?

    Réponses dans le Faire Face du mois de février.